L’art n ‘a pas de sens, pas de points cardinaux,
L’artiste perd la notion du confort pour créer, le vide est l ‘agent nécessaire de l ‘art et
L’artiste perd la notion du confort pour créer, le vide est l ‘agent nécessaire de l ‘art et
de l ‘artiste. Dans son destin même,le peintre lui, est tout entier créé par le pays qui l ‘a déposé à terre .De telles conditions le différencient des autres .
Il y a toujours eu une tension entre » ambition » et » retrait total de soi » pour aborder le centre de mon énergie pour capter la lumière qui m aiderait à jeter les premiers signes d’une œuvre sur la toile
Ma biographie c’est l ‘histoire d’ un pays,l ‘Algérie coloniale qui m ‘a vu naître où j ‘ai grandi , qui m ‘a fait vivre un conte de fées et l ‘Algérie indépendante qui m ‘a déconstruite et au fil du temps édifié en moi cette force grandissante , réparatrice et enfin bienfaisante qui me nourrit
d’ un nouveau sens de l ‘ histoire, et de vie dans l ‘Art.
Les échappées au village nègre,les rues qui descendent au vieil Oran , le quartier de Tigditt à Mostaganem,sont les éléments incontournables de ma culture en Algérie , les images précieuses qui sont scellées dans ma mémoire et me tiennent lieu d’ initiation. Cette aventure c’est le matériau enflammé de mon œuvre naissante même s’il y eu trente années passées à travailler ;je les considère comme des balbutiements .
Ma grande révélation , qui n ‘aurait pas du en être une, c’est la découverte de la jeune peinture algérienne quand elle est dépouillée des classicismes de
l ‘art musulman traditionnel.
Elle jaillit de ces jeunes peintres maghrébins,
c’est une fraternité qui me lie à eux ,qui me rend à moi-même.
Que reste-t -il alors de ma culture classique dans mes travaux d’aujourd ‘ hui ? Un regard reconnaissant qui se dilue dans le lointain, cela sans ambiguïté.
Il y a toujours eu une tension entre » ambition » et » retrait total de soi » pour aborder le centre de mon énergie pour capter la lumière qui m aiderait à jeter les premiers signes d’une œuvre sur la toile
Ma biographie c’est l ‘histoire d’ un pays,l ‘Algérie coloniale qui m ‘a vu naître où j ‘ai grandi , qui m ‘a fait vivre un conte de fées et l ‘Algérie indépendante qui m ‘a déconstruite et au fil du temps édifié en moi cette force grandissante , réparatrice et enfin bienfaisante qui me nourrit
d’ un nouveau sens de l ‘ histoire, et de vie dans l ‘Art.
Les échappées au village nègre,les rues qui descendent au vieil Oran , le quartier de Tigditt à Mostaganem,sont les éléments incontournables de ma culture en Algérie , les images précieuses qui sont scellées dans ma mémoire et me tiennent lieu d’ initiation. Cette aventure c’est le matériau enflammé de mon œuvre naissante même s’il y eu trente années passées à travailler ;je les considère comme des balbutiements .
Ma grande révélation , qui n ‘aurait pas du en être une, c’est la découverte de la jeune peinture algérienne quand elle est dépouillée des classicismes de
l ‘art musulman traditionnel.
Elle jaillit de ces jeunes peintres maghrébins,
c’est une fraternité qui me lie à eux ,qui me rend à moi-même.
Que reste-t -il alors de ma culture classique dans mes travaux d’aujourd ‘ hui ? Un regard reconnaissant qui se dilue dans le lointain, cela sans ambiguïté.
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