c’est Mostafa Lacheraf qui écrit cela
« Allons, il faut démystifier » .: Malek Haddad, Assia Djebar
sont des écrivains qui n’ont jamais saisi nos problèmes,
même les plus généraux. I
ls ont tout ignoré, sinon de leur classe petite-bourgeoise,
du moins de tout ce qui avait trait à la société algérienne ;
de tous les écrivains algériens,
ce sont eux qui connaissent le moins bien leur pays,
ce qui les pousse à escamoter les réalités algériennes
sous une »croûte » poétique,
elle-même sans originalité du point de vue du roman :
»ribaude » chez l’un, bourgeoise chez l’autre.
Ces écrivains n’ayant comme public et
comme juges que des critiques français qui, eux-mêmes,
ignoraient tout de l’Algérie,
ont été artificiellement portés sur le pavois.
C’est le drame, je le répète, d’un pays où
les écrivains produisent une littérature qu’on ne peut juger«
Me Voilà désarçonnée.
Moi qui venais de m ‘avouer que
j ‘aurai co-signer à pleine main ce poème de Malek Haddad,
je me dis que décidément la critique politique
est menée tambour battant,
ici et là avec la même férocité.
Pour ne pas contredire les » Immortels de ce pays « ,
j ‘écrivai il y a six mois à Mme Assia Djebar, ceci :
Je vous dis ma reconnaissance :
vous êtes le lien de deux cultures ,
mais vous êtes aussi l’ambassadrice de toutes les Algéries ,
même celle que l’on oublie car l’histoire l’a ensevelie.
La voilà descendue en vrille par un cher collegue algérien.
Ce que je retiendrai:la délicatesse
et la belle image d’ un poète sensible à sa mere l ‘Algérie .
et voici le poeme :
http://pressposts.com/Life/Malek-Haddad/
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