Pour ce jour de Noël ,
dans cette période chahutée
où chacun se cherche un raison
la plus humanitaire d’exister ,
où les religions exercent leurs talents
pour être au top de la magnifique pertinence
d’ un hit-pareade planétaire moi,
j ‘ai trouvé ce qu’écrivait Izarar Bélaïd,
plus connu sous le nom de Bélaïd At-Ali
du fond de son lit d’ hôpital à Oran
,après une vie de tribulations :
un kabyle « sans grade »,
sans renommée tapageuse,
un de ces hommes qui compte
sans l ‘avoir jamais même soupçonné.
« Merci pour les deux derniers numéros
de Témoignage Chrétien attendus avec impatience
: j’ai fini par m’y habituer.
Ce qu’on y lit est toujours plein d’une certaine bonté,
d’une charité qui fait du bien. Chrétien ou non, on aime entendre dire des choses douces, indulgentes, compréhensives…
surtout quand on en sent le besoin. »
Il lit aussi l’Évangile selon saint Luc et les Actes des Apôtres,
« j’ai presque peur d’y trouver une
certaine justification de ma pauvre vie égoïste.. »
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